Qu’il soit issu du
regroupement familial, étudiant, travailleur qualifié ou non qualifié,
travailleur temporaire, frontalier, réfugié, demandeur d’asile, sans papiers,
le migrant incarne souvent une figure menaçante. En se basant sur les articles
de journaux, les proclamations politiques, les ouvrages de sciences sociales,
mais aussi les romans et les films, l’autrice montre comment la mémoire
collective concernant l’image de l’Autre s’est construite de 1870 à nos jours
et propose quelques pistes pour en finir avec l’image péjorative du migrant.
Catherine Wihtol De Wenden est directrice de
recherche au CNRS (Centre d'études et de recherches internationales-CERI).
Membre de la Ligue des droits de l’Homme.
Un comptoir de vente sera assuré.