Matthieu Clarola Oisivete, Amours, Exil

Comme j’passe ma vie à travers les mailles des filets de la réussite professionnelle et de l’amour mis en ménage, un jour, c’est sûr, je me ferai bouffer. Mais comme chantait Barbara, moi, j’m’en balance, je préfère ça que mourir au champ d’honneur. En attendant, j’ai ram’né des mes balades quelques rimes en prose et quelques déductions dénuées de bon sens dont je ferai ce soir, un florilège, avant de prendre une retraite bien méritée. Et comme c’est un nouveau spectacle, il se pourrait donc bien que cette première soit également la dernière.